Le mépris
Le fascisme, c'est le mépris. Inversement, toute forme de mépris, si elle intervient en politique, prépare ou instaure le fascisme.
Albert Camus
Comme le dit Yuval Noah Hariri, un des fournisseurs officiels du prêt à penser du WEF :
Encore une fois, je pense que la plus grande question peut-être en économie et en politique dans les décennies à venir sera : que faire de toutes ces personnes inutiles ?
Le problème est plus lié à l'ennui et à la façon de les occuper, et comment trouver un sens à leur vie, alors qu'ils sont essentiellement sans importance, sans valeur ?
Ma meilleure hypothèse, pour le moment, est une combinaison de drogues et de jeux vidéo comme solution pour la plupart. Cela se produit déjà...
On retrouve ici la suffisance et le mépris de la classe populaire qui caractérise nos élites. Inutiles, nous sommes tout juste bons à être drogués, hypnotisés par les machines et des substances plus ou moins légales.
Ce mépris transparaît de la même manière dans les politiques Net Zero, qui vont condamner les plus pauvres à la misère et à une mort prématurée. Peu importe si la plèbe souffre, ils ne savent de toute façon pas quoi en faire !